Ce que j’emporte dans ma valise direction la playa (et le soleil, s’il veut bien)!

La météo annonce mauvais temps toute la semaine, mais c’est bien connu, la météo se trompe toujours, pas vrai? (dis oui, s’il te plait)

Je fais mes valises plutôt simplement et avec un esprit presque mathématique chaque année. Comme si dans ma tête il y avait une liste avec des cases à cocher.
Pas de superflu!

Pour celles qui seraient atteintes de valisite aiguë, je ne sais que vous dire, j’ai eu du bol à la naissance.

Allez, je vais pas vous faire un pâté de dix kilomètres, voici donc ce que j’emporte!

 

 

 

On part en vacances OKAI, mais on ne va pas en oublier les règles élémentaires de base pas vrai? s’pas le moment de chopper des mycoses

Cette année, point de gel douche pour moi, mais rassurez-vous je vais quand même me laver, avec un petit savon de la marque Maédys, acheté dans un petit magasin bio à deux pas de chez moi. La dame est si gentille que j’aimerais l’épouser (faut dire qu’elle m’a séduite à coup d’échantillons de chocolat noir 80% de cacao *O*). Tout ca pour dire que j’aurai mon savon Menthe. J’espère juste qu’il ne me fera pas l’effet kiss cool tout froid partout (j’ai déjà expérimenté pour mon intimité en me lavant avec du head&shoulders, j’ai cru brûler pendant 2 jours).
Je prends aussi avec moi mon shampoing Santé, sur lequel je change peu à peu d’avis mais qui même s’il a fini par mousser, n’est pas très adapté à mon cuir chevelu de nana stressée en crise de régraissement.

Je prends aussi mon petit dentifrice à la menthe pour sentir bon du bec! C’est un vrai must have pour moi, et même si je suis une grande curieuse/testeuse, je pense me l’acheter de nouveau.

Pour ce qui est du déodorant, je suis encore fidèle à ma pierre d’alun, qui va sortir pour l’été avec l’hydrolat de pamplemousse, faisant quelques infidélités à mon eau florale de myrte Bio ok.

Enfin, moi et ma malédiction des vacances et des règles, on emporte avec nous la cup. Ranapéter cette année, contre vents et marées j’irai me baigner sans peur du tampon imbibé!

 

 

Parce que je ne veux pas ressembler à un vieux croûton desséché par les rayons du soleil, j’emporte avec moi mes essentiels hydratation/nettoyage quotidiens. Je ne pense pas prendre le temps de faire un gommage ou un soin sur place, inutile de m’encombrer!

J’emporte donc mon huile d’amande douce (démaquillant à tout faire), ma fidèle et bien aimée mousse nettoyante cattier, mon aloe vera, ma crème de jour so bio etic à l’onagre (que j’apprends à aimer très fort), et mes petits tubes magiques. Chez eux, c’est la fête. Il y a mon acide salicylique, donc je vous parlerai très bientôt en détail. On dénombre aussi des huiles essentielles : lavande vraie (pour le stress et les boutons récurrents), le tea tree (attaquant de première ligne), et la citronnelle (contre les moustiques qui font la taille d’une balle de golf).

 

 

Difficile de zapper cette étape. Avec le sel, le vent, le soleil, le capillaire, il en prend un coup. Pas question alors de partir sans ma réparatrice et potion salvatrice l’huile de noix de coco!

 

 

Comme je n’hydrate jamais mon corps le reste de l’année (ni le gomme, ni rien d’ailleurs, c’est une immense partie ingrate et abandonnée de ma personne), là je fais un énorme effort. J’emporte avec moi la petite huile sèche achetée so bio etic sur vente privée, qui je l’espère hydratera bien ma peau de croco et prolongera le peu de bronzage que j’arriverai à chopper.

Bien évidemment, j’utiliserai une crème solaire, que je n’ai pas encore achetée, mais je pense, vu l’usage que je vais en faire et sachant que les solaires ne se conservent pas très bien, me rabattre sur du bio de grande surface, celui pour enfants indice 50 avec un dessin de raiponce dessus. Parce que moi et mon vitiligo on a pas trop le choix.

Parce que je ne me souviens que trop bien cet instant tragique où mon chéri et moi avons cru que la vase n’était pas si profonde que ça à Fouras et qu’on s’est enfoncés dedans jusqu’aux fesses, que ben, les coquillages, ça fait mal. Il est donc de bon usage de prévoir une petite trousse, avec les premiers soins basiques dedans : un désinfectant (je l’ai fait une fois à la vodka, on a vu mieux), des pansements/des compresses et du sparadrap, et du doliprane, au cas où. Perso, j’ai toujours aussi de la cocculine, que j’utilise à l’aller et au retour, à raison de deux comprimés toutes les heures : parce que voyager avec le mal des transports, c’est juste la plaie ultime : t’arrives t’as plus qu’à aller te coucher/poser ta galette. Alors certains disent que c’est du placebo, perso, j’m’en fiche, mais CA MARCHE SUR MOI. Pour les pro HE, la menthe aide aussi.

MINIMALISME. Le mot de rigueur.
J’ai toujours considéré les vacances comme le summum de la décontraction. Exit donc les tenues compliquées et élaborées. Je retire ça en trois secondes pour sauter le cul à l’eau, alors pas besoin d’en faire des caisses.

Une semaine, 3 tenues. Une robe (toujours la même depuis deux ans), un short, et une jupe et quelques hauts assortis. Ce que j’ai le plus envie de mettre dans ma valise. Des fringues que j’aime, confort, qui ne craignent pas, et que je pourrai laver facilement à la main dans le lavabo si je tâche.
Faut aussi prévoir un pull et un jean, pour les soirs de marché nocturne et les sorties sur la plage (c’est pas trop la canicule à cette heure là).
Bon on n’oublie pas les maillots de bain et surtout, les petites culottes (j’ai déjà zappé, je vous jure que laver la sienne tous les soirs et la remettre le lendemain  encore humide après avoir dormi les fesses à l’air, y’a mieux!).

Pense aussi à prendre un petit livre sans prétention pour lire sur la plage en regardant les nanas passer (j’aime comparer). J’aime bien les bouquins où tu dois trouver les mots, le pêle mêle, mais seulement en vacances. Tu rayes, tu réfléchis pas, et ça te fait passer le temps au bord de l’eau.

Parfois j’aime me culturer : j’ai donc bon souvenir de “la vérité sur les cosmétiques” et mes heures passées à lézarder avec le bruit des vagues et l’éclatante vérité.

Des vacances réussies, c’est surtout l’éclate, et l’oubli de la restriction.
Glace tous les jours (et même des jours avec 2 glaces, oui madame), défi, on goûte tous les parfums, on fait CE QU’ON VEUT quand on veut.

Et puis cette année je pars aussi avec un beau barda pour faire une pièce montée, je sens que la twingo va ressembler à un char d’assaut et va un peu peiner dans les côtes.Peut-être bien qu’à l’heure où tu lis ce billet, je suis la tête dans ma valise, ou sur la route, en plein milieu d’une départementale avec que des camions et des vaches. En tous les cas, je reste présente, j’ai tout prévu pour que tu t’ennuies pas pendant que j’suis “pas là”.

 

Je vous fais des bisous!

Délia ♥ (En vacances!)