*Article sponsorisé, rédigé dans le cadre d’un partenariat avec Peugeot Saveurs
Cela faisait un moment que je n’avais pas remis le nez dans les pâtes levées, mais quand cette idée d’association de saveurs pomme et cannelle (avec un zeste de noix de pécan) a frappé à ma porte, je ne la voyais pas autrement que dans une brioche vegan!
J’ai créé cette recette dans le cadre d’un partenariat avec Peugeot Saveurs, je vous en avais déjà parlé dans mon article sur le brookie, via le moulin à graines de lin Naka.
Un mois plus tard (à la louche hein!), je reviens avec un nouveau jouet : le moulin à cannelle Lanka, qui sert à transformer les bâtons de cannelle en fine poussière odorante et délicieuse! On n’est finalement pas loin d’Halloween niveau magie haha.
Les bâtons de cannelle étant assez fragiles, mes tentatives de les râper s’étaient vite soldées par un échec cuisant, j’utilisais donc de la cannelle moulue.
Je ne sais pas si vous avez déjà consommé de la cannelle de Ceylan, le tout fraîchement râpé, mais ça donne une saveur bien plus complexe à la cannelle, quelque chose de citronné -notes d’agrumes certaines-, mais très gourmand en même temps! Les épices comme les parfums ont tendance à avoir des notes qui disparaissent rapidement, les moudre selon le besoin permet de profiter de toute leur complexité ;-)!
La cannelle de Ceylan n’a rien à voir avec la cannelle de Chine en terme de saveurs ou de visuel, car les bâtons de celle de Ceylan sont comme un mille feuilles de couches très fines là où la cannelle de Chine est comme un gros bâton épais.
Lanka a un mécanisme bien spécifique avec une grosse bille métallique- bien bien lourde- dans un compartiment. Sous l’action d’un secouage énergique, on brise la cannelle, qui est ensuite réduite en une poudre très fine en tournant le moulin.
C’est encore une fois un très bel objet, si vous avez des cannelle addict dans votre entourage -oui oui, on vous voit!-, c’est un très beau cadeau 😉 !
Pour rappel, Peugeot Saveurs est une entreprise Française, qui travaille sur des matériaux français (sauf certaines micro parties en plastique de mécanisme qui ne sont tout simplement pas produites en France donc ils vont les chercher ailleurs) notamment son bois qui est sourcé et issu de forêts durables. C’est d’ailleurs pour ce coté made in France affirmé (de la conception à la fabrication) que j’ai accepté de travailler avec eux : ils ont la fierté des beaux produits faits chez nous.
La brioche est un sujet finalement assez complexe, au delà de l’idée d’obtenir une pâte bien levée, il y a plusieurs techniques pour obtenir une belle brioche, mais aucune n’implique de temps réduit. La brioche a besoin de temps pour exister, mais ce qui est génial, c’est que c’est du temps où elle travaille seule, pendant que toi, tu fais ta vie.
Je vais donc essayer de vous regrouper ici ce que j’ai pu grapiller pendant mes années de pâtissière, à l’école, mais aussi à la force de mon expérience.
Souvent on la néglige, mais l’expérience a une valeur, aujourd’hui c’est cadeau, je vous explique tout!
La réalisation d’une brioche végétalienne est un peu plus difficile je trouve, dans le sens où on se passe des œufs qui apportent beaucoup de moelleux, et que le gras végétal ne réagit pas de manière aussi tendre que le beurre.
Mais voici mes secrets pour réussir sa brioche vegan!
L’autolyse pour travailler les pâtes levées
J’ai appris ce qu’était l’autolyse auprès de mon collègue boulanger, Guillaume, qui, si d’aventure passe ici, est prié d’emporter la bise que je lui claque!
Il avait passé son CAP boulanger en reconversion, d’une manière ou d’une autre je me sentais plus proche de lui que de mes anciens collègues boulangers (certainement cette sensibilité accrue face à son métier et sa réalité), et plus à même de le bassiner avec mes questions de celle qui n’a jamais fait de pain à 3 heures du matin.
Un jour, le voyant faire sa mise en place, je lui demande ce qu’il bricole et il me parle d’autolyse.
En fait, l’autolyse, c’est le fait de mélanger la farine et l’eau ensemble, surtout sans rien d’autre, sans pétrir hein, juste un simple mélange. Ca permet au gluten contenu dans la farine de gonfler, d’absorber de l’eau, et au réseau de gluten de commencer à se former.
Sans cette étape, on est obligés de forcer sur le pétrissage notamment, et on a tendance à trop pétrir la pâte, ce qui mettra en relief le goût de la levure plutôt que de la farine.
On oublie régulièrement et à tort cette première étape, qui est un des trois paliers pour développer le gluten en réseau solide dans une pâte.
Je l’ai notamment réalisé de manière très claire en faisant mon pain : j’avais suivi la méthode à la lettre, et ils faisaient faire ce mélange préalable. Mon pain était incroyable, pourtant très hydraté et donc visuellement peu gonflé avant cuisson.
C’est important dans le cas de la brioche, car de manière générale, une pâte bien hydratée donne un résultat très léger, beaucoup plus facilement qu’une pâte trop alourdie!
Pétrissage de la brioche : trop point n’en faut
Comme précisé dans le précédent paragraphe, voici la seconde étape pour obtenir une belle brioche!
Au moment de pétrir, on ajoute les autres ingrédients de la recette, jusqu’à obtenir une pâte qui se décolle des parois.
Je vais totalement nuancer cette affirmation, car selon la quantité de liquide, il est fort possible que la pâte montre simplement des signes de “force” (c’est comme ça qu’on dit quand on constate que le gluten contenu dans la pâte se manifeste). En général, on le voit parce que ça fait comme des filaments de toile d’araignée.
En tous les cas, il faut toujours avoir en tête qu’une brioche ne doit pas monter en température au moment du pétrissage, au risque de tuer la levure contenue dedans, et donc, de mettre en péril l’étape suivante : la pousse.
Pendant qu’on pétrit (enfin toi, ou le robot hein!), on fait travailler le gluten contenu dans la pâte pour l’arranger en réseau, et non plus en petite molécules solitaires!
La pousse en 3 temps de la brioche
Parce que c’est souvent là qu’on voit aussi une pousse en deux temps au lieu des trois réellement intéressants.
La pousse, c’est le moment où le gluten va finalement prendre toute sa force et devenir solidaire.
Dans la recette avant la pousse, la pâte a l’air presque loupée, dans le sens où elle est plus liquide que solide!
A la pousse elle devient ferme : appelle-moi Merlin si tu veux.
On laisse la brioche lever une première fois à température ambiante, on la dégaze, on la met au frais pour une douzaine d’heures pour une pousse lente, on la met en forme, et on la laisse pousser une dernière fois avant d’enfourner.
De cette manière on obtient alors une mie vraiment légère!
Mais revenons à nos moutons dodus de brioche cannelle et pomme …
J’ai proposé cette recette avec des pommes râpées à l’intérieur (on évite d’apporter trop d’eau!), un bâton de cannelle pour aromatiser et me servir de mon nouveau joujou, et également des noix de pécan. C’est drôle qu’on en parle parce que je les ai oubliées et les ai enfoncées dedans au dernier moment comme une sagouine, d’où leur présence très relative dans ma photo. J’aurais pu photoshoper et vous en rajouter mais j’ai préféré laisser votre imagination bosser.
Enfin, petite blague à part, Aram est absolument FAN des pâtes dans lesquelles il y a de la levure, il a donc activement participé à la préparation de cette brioche en enfonçant sa patte dedans : je ne vous raconte pas le fou rire quand j’ai trouvé ma pâte levée, avec un trou correspondant parfaitement à l’empreinte d’un chat!
Si vous souhaitez un résultat encore plus gourmand, vous pouvez ajouter une fine couche de praliné de noix de pécan, vous ne serez pas déçus du voyage !
A défaut, j’en ai quand même généreusement tartiné le dessus de la brioche et même chaque part. Autant vous dire qu’accompagnée d’un thé noir, cette brioche est absolument parfaite.
Brioche à la pomme, cannelle et noix de pécan
Ingrédients
- 225 g farine de blé t45
- 7 g levure fraîche de boulanger
- 135 g lait végétal
- 45 g sucre en poudre
- 1/2 c. à café sel
- 45 g huile végétale
Garniture
- 3 pommes
- 35 g cassonade
- 1 bâton de cannelle ou une cuillère à soupe de cannelle moulue
- 50 g noix de pécan
- 100 g praliné de noix de pécan
Dorure sans oeufs
- 1 c. à soupe lait végétal
- 1 c. à soupe sirop d'agave
Instructions
- Dans la cuve de votre batteur (ou un saladier si vous faites le mélange manuellement), mélangez la farine et le lait végétal. Mélangez pour incorporer puis laissez reposer 30 minutes.
- Ajoutez tous les ingrédients de la brioche, c'est à dire l'huile, le sucre, le sel et la levure fraîche en faisant en sorte qu'elle ne touche pas directement sucre ou sel.
- Pétrissez une dizaine de minutes : le mélange sera certainement humide et impossible à toucher sans que la pâte ne vous colle aux doigts, mais cela s'arrangera une fois la pousse activée.
- Laissez lever la pâte à température ambiante (le mieux est de mettre la brioche près d'une source de chaleur -chauffage ou autre-, pour qu'elle pousse, ou dans votre four sur fonction pousse à 30°C). Elle doit doubler de volume. A l'issue de cette première pousse, elle doit être gonflée, lisse, et elle doit être devenue moins collante.
- Vous allez alors enfoncer joyeusement votre main dans cette pâte à brioche pour la dégazer : le but est de la faire revenir à son état initial!
- Emballez-la alors sous un torchon, et mettez au frais pour une pousse qu'on appelle lente, mais aussi une "maturation" : c'est là que la brioche va développer ses arômes!
- Douze heures plus tard, la brioche est bien froide! Pratique à étaler, vous en ferez alors un beau rectangle correspondant à la longueur de votre moule, et 2 à trois fois plus longue dans la largeur en gros vous aurez un rectangle de 25 sur 60-70.
- Râpez vos pommes finement et pressez-les bien pour en retirer le maximum de jus, pour ne récupérer que le fruit. Buvez le jus, ce serait dommage de le gâcher 😉 !
- Répartissez la pomme râpée sur votre rectangle de pâte, puis saupoudrez le sucre de canne. Concassez les noix de pécan et déposez-les également. Si vous avez pris le soin de le réaliser, n'hésitez absolument pas et ajoutez du praliné de noix de pécan. Enfin, déposez la cannelle (1 bâton correspond en gros à une cuillère à soupe).
- Roulez alors le boudin bien serré sur lui-même et torsadez légèrement. Disposez dans un moule à cake de 25 cm de long et réalisez la dernière pousse, pendant environ 2 heures, le temps que la brioche pousse et double de volume.
- Mélangez le lait végétal et le sirop d'agave, et nappez-en la brioche pour la dorer. Vous pouvez également ajoutez quelques morceaux de noix de pécan, avant d'enfournez à 180°C pendant une cinquantaine de minutes. N'hésitez pas à baisser votre four à 170°C pour éviter qu'elle ne colore trop, au bout d'une trentaine de minutes.
- Sortez du four et démoulez la brioche rapidement, sans attendre qu'elle refroidisse, au risque qu'elle "creuse". Elle a besoin de pouvoir évaporer le reste d'humidité qui restera de la cuisson!
- Avant de servir, saupoudrez d'un peu de cannelle fraîchement moulue, et de praliné de noix de pécan …
Les idées les plus classiques ne seront pas non plus à oublier : dans de la compote, du riz au lait, ou en ajout dans de la pâte à cookies … Sans oublier les brioches à la cannelle traditionnelle!
J’imagine que vous avez de quoi vous inspirer pendant tout l’automne avec ça, régalez-vous bien de cannelle fraîchement moulue …
A bientôt,
Ça a l’air drôlement bon !
Ah ma chère Vanessa aux yeux arc en ciel 😊 moi qui vendrait pas mal de choses pout une brioche celle ci me met tout mon système digestif en alerte. Je vais bientôt la tester pour sûr 🙁 c’est toujours aussi agréable de te lire. Des bisous !
Vous ici? 😉
Il n’y a pas 150 personnes à parler de feu mes yeux maquillés!
Tu n’étais pas intolérante au gluten toi? 😉
T’es adorable ♥ bisous 🙂
Hello, petite question un peu bête peut-être, mais dans la recette je ne te lis pas utiliser la méthode de l’autolyse (que je crois connaître sous le nom de Tang Zong, vu sur Pinterest ^^’) dont tu parles plus haut. J’ai loupé une étape où tu ne l’utilises bien pas ici ?
Ola 🙂 !
Si, la première étape consiste à laisser reposer la farine et le liquide, c’est ce que je considère ici comme de l’autolyse 🙂
Effectivement, ça fait plus classe avec un nom pareil haha 😀
ahh ok, c’est car la technique que j’avais vue consistait à faire chauffer doucement farine et eau jusqu’à ce que ça épaississe, puis laisser reposer une nuit ^^
Et sinon, perso je préfère le nom autolyse ;p
En effet, c’est une autre technique, j’en ai fait une fois, je m’en souviens maintenant haha!
Encore une série de photos sublime ! Je viens de voir ton post sur instagram et je tiens à te dire et redire mon admiration pour ton travail ! Je montre toujours tes photos à ma soeur qui est ma référence en terme de photos même si elle son truc ce sont les paysages. 😀
Pour en revenir à cette recette, je vais la tester la semaine prochaine ! Merci pour tous ces conseils pour la réalisation d’une brioche, j’aime bien qu’on m’en dise un peu plus que la simple liste des ingrédients, ça m’aide à comprendre comment la cuisine fonctionne et m’encourage à tester mes propres recettes (j’hésite encore souvent de peur de me louper complètement pour tout ce qui est sucré). Alors merci !
Merci Alice!
Haha, une brioche dans le paysage, c’est presque pareil? :p
C’est bien l’idée 😉 Je suis contente que ça te fasse avancer vers plus d’autonomie en cuisine! En sucré c’est pas toujours facile facile, mais on finit par prendre le pli, promis!
Merci pour ton adorable message en suite de mon post insta! :-*
J’en suis à mon 3e essai raté de brioche (pourtant je suis une recette) alors ton article tombe à pic haha.
Merci pour tous tes conseils qui me permettent d’avoir des pistes pour m’améliorer et ne plus la rater.
D’ailleurs je pensais seulement qu’il ne fallait pas que la levure entre en contact avec le sel mais que ça ne posait pas de pb avec le sucre.
C’est capricieux la brioche 😉 et ça demande un petit tour de main!
Si la levure est en contact direct avec le sucre, elle a tendance à devenir flemmarde une fois qu’elle doit pousser pour faire lever la pâte : elle aura déjà mangé tout le sucre, elle sera ‘repue” 🙂
Recette testée et approuvée par toute la famille (aux goûts très traditionnels et carnés)
La brioche dégageait une odeur exquise à sa sortie du four ! Les explications sont claires, précises et adaptées aux novices !
J’apprécie tout particulièrement le fait que cette recette ne nécessite pas d’huile, ni de lait de coco (ce qui est rare pour les brioches vegans), ni de margarine. L’alternative de l’huile neutre n’en reste pas moins appétissante, en plus de son aspect local !
Prochaine étape : réaliser un praliné avec une noix plus locale (cerneaux, amandes ou noisettes) et refaire la recette en quadruplant !!!
Coucou Blandine!
En effet, je ne suis pas fan des saveurs marquées de la noix de coco … Un comble pour une adepte de la véganie, mais je la sens même dans les fromages végétaux, je suis un chien truffier version huile de coco!
Pour le praliné, c’est bien entendu une excellente idée, la noisette donne de magnifiques résultats, mais c’est des coups à finir par le tartiner sur du pain :p !
Merci pour ton message c’est chouette de voir que la recette a plu 🙂
Hello!
Bon, 1674 ans après la bataille, je veux tester cette méthode de brioche demain MAIS je n’ai que de la T55 (biobo écolo toussa toussa…) Tu penses que je peux remplacer la T45 sans ajuster la quantité de liquide? Je suis bien consciente que la mie sera moins filante quoi qu’il arrive… Ou je rajoute 1/2 càc de gluten en poudre pour aider à former le réseau?
Merci d’avance et bonne soirée!
Bonjour!
Désolée pour ma réponse très tardive!
La t55 fonctionnera mais la mie sera un peu moins filante et aérée oui. Le gluten pur a tendance à réagir bizarrement, la pâte sera possiblement un peu plus difficile à travailler mais rien d’insurmontable.
Si tu dois ajuster tu le verras de toute manière sur la texture trop ferme de la pâte 😉
Pas de souci pour la réponse tardive, j’ai fait avec de la T55 et exactement les même proportions en me disant qu’au pire, la mie serait plus dense. La texture était suffisamment collante pour que je ne tente pas le diable en terme de liquide au risque de me retrouver avec un clafoutis levé…
J’ai aussi laissé reposer la pâte 24 h au lieu de douze (parce que apparemment “je dois aller façonner une brioche” n’est pas une excuse valable pour quitter le boulot en milieu de matinée…) et j’ai fait 5 boules que j’ai fourrées purée de châtaigne + purée de noisettes (ne faites pas ça chez vous, ce truc est addictif…), puis je les ai agencées en quinconce dans un moule à cake.
La croûte était un peu épaisse, probablement du à mon four qui fait du zèle, et la mie un peu dense, la prochaine fois je tenterai de rajouter 1 càs de lait pour voir, mais sinon top!
Je m’en décongèle une part pour le petit déj’ de demain matin…
P.S: je n’ai pas mis d’étoiles, parce que en vrai je n’ai pas fait la recette DU TOUT et je compte bien y remédier un jour avant de faire un vrai retour! 😉
haha, ce sont des choses qui arrivent pour la brioche! Franchement ils ne sont pas super compréhensifs à ton travail, dis 😉 !
ce qui est important aussi et surtout, c’est le pétrissage. Il faut qu’il dure suffisamment longtemps pour que le gluten se libère. C’est un vrai travail de patience mais ça vaut le coup !
J’espère que ta prochaine expérience sera une totale réussite alors! Et si vraiment tu veux une brioche qui s’envole, prends de la farine de gruau : on en trouve asse facilement au supermarché classique 🙂
Coucou 🙂
Comme promis, je reviens pour dire ce qu’il est de ce test de brioche.
J’ai pris quelques libertés puisque je n’avais qu’un moule à manquer à ma disposition, j’ai décidé d’en faire des rolls ! Et aussi de ne pas mettre la dorure et de faire une glaçage au sucre glace.
Bon j’ai quand même gardé l’essence de la recette càd la “farce” et franchement, c’est un délice!!!
C’est sûr que je referai la recette, et je me réjouis également d’en avoir une version à trancher car quand je vois ta brioche en photo, j’ai des paillettes dans les yeux, moi aussi je veux en faire une comme ça !!!!!!! Puis je réfléchis à faire la même avec un praliné d’amande (pour gardé le praliné de noix de pécan juste pour moi, mais chut 😀 )
Belle journée, et merci pour cette recette au top (comme toujours!)
Estelle
Haha, je vois que ton entrain ne s’est pas perdu en cours de route, me voilà rassurée : la brioche t’a plu!
Merci pour ton message, et j’espère que tu t’amuseras autant avec les variantes!